Punk.Chic.Chaos.

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Cette saison Printemps-Été 26, la Fashion Week de Londres est une édition fidèle à l’idée qu’on s’en fait.

Indisciplinée, subversive, diverse.

Sans assister aux défilés, on ressent l’énergie et l’audace qui sont les marques de fabrique de Londres.

 

Pour son premier défilé à Londres, Rory William Docherty s’est inspiré des paysages bruts de la Nouvelle Zélande : des volumes flous comme si on les regardait à travers l’eau, des imprimés qui rappellent la roche ou le végétal, des anémones de mer. De magnifiques pièces dans des matières issues de stocks de tissus de costumes japonais ou vintage.

 

Chez Johanna Parv, les clientes sont citadines, sportives, énergiques, et ne veulent pas choisir entre le style et le confort.

Les vêtements sont des pièces hybrides entre tenue de sport et tailleur, avec toujours des détails pour la pratique du vélo (le concept initial de la marque).

 

Avec ces créations de “demi-couture” (un équilibre entre prêt-à-porter sculptural et couture) et des tissus avec des motifs de papiers peints, Harris Reed explore un espace entre contrainte et liberté. On devine l’influence victorienne : des corsets, des volumes, des motifs floraux mais dans un style contemporain.

 

Et aussi Ashish (originaire de Delhi) qui a fait danser ses modèles, Conner Ives et ses pièces fluides vitaminées, influences victoriennes et militaires chez George Keburia

Les créateurs et créatrices étaient beaucoup trop pour qu’on cite tout le monde.

Le calendrier s’est largement étoffé par rapport aux précédentes saisons, un signe que le UK se remet au centre de la carte Mode.

 

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